Aurélie Gravelat
Pierre Labat
Florine Leoni
et Sylvain Baumann
à propos des dessins d'Aurélie Gravelat:
À la perpendiculaire de l’Atelier.
Il y a, sur trois feuilles, des lignes et des surfaces : quelques signes de l'architecture de l'Atelier. Signes un peu vagues, ils ne sont pas l’enjeu de cette représentation.
Les dessins débordent l'espace de la feuille ; sur leurs tangentes ils se mesurent au lieu.
Là, à l’œuvre, le dessein se risque par un déplacement d'échelle.
Il y a, sur trois feuilles, des lignes et des surfaces : quelques signes de l'architecture de l'Atelier. Signes un peu vagues, ils ne sont pas l’enjeu de cette représentation.
Les dessins débordent l'espace de la feuille ; sur leurs tangentes ils se mesurent au lieu.
Là, à l’œuvre, le dessein se risque par un déplacement d'échelle.
Une ligne non pas agrandie ou simplement amplifiée mais
déployée à l'échelle d'une poutre, d'une hauteur sous plafond, d'une surface.
Une ligne, des lignes, des surfaces, manipulées à plat, sur ce plan, mettant en
jeu cet espace.
Un projet, un dessin, à projeter, à mettre en perspective,
peut-être à redresser pour les voir.
Trois dessins,
deux accrochés, ou plutôt redressés, et
un déroulé au sol.
Trois
dessins, à voir, ces murs, ce sol: cet espace.