Cabinet de curiosités :
Le temps des libertinages
Christophe-Paul de Robien possédait
dans son cabinet douze objets érotiques dont certains qualifiés
d'obscènes dans les inventaires. Il s'agit là de peu de chose pour en
faire un érotomane, mais c'est plus que ce que possédait Caylus ou
Calvet à la même époque.
Cette exposition accompagnant la réouverture du cabinet de curiosités tentera de remettre dans son contexte les objets érotiques de Robien à partir d'autres objets qui lui sont contemporains : des raretés venues de Guimet, du Louvre et des Arts décoratifs délimiteront les contours d'un érotisme longtemps occulté parmi les collections d'amateurs que la seconde moitié du XVIIIème polarisera entre bon gout et vulgarité.
Cette exposition accompagnant la réouverture du cabinet de curiosités tentera de remettre dans son contexte les objets érotiques de Robien à partir d'autres objets qui lui sont contemporains : des raretés venues de Guimet, du Louvre et des Arts décoratifs délimiteront les contours d'un érotisme longtemps occulté parmi les collections d'amateurs que la seconde moitié du XVIIIème polarisera entre bon gout et vulgarité.