Collection « Sans réserve »
Musée d'art contemporain du Val-de-Marne
Jacynthe Carrier et l’Orchestre d’hommes-orchestres, Parade.
Élisabeth Ballet, vue de l’exposition des œuvres de la collection « Sans réserve », MAC VAL 2017.
Au premier plan, Eyeliner, série « Sept pièces faciles », 2007. Caoutchouc et peinture blanche, dimensions variables. Au fond, La Tristesse des clous, 2002. Bois teinté, châssis de fenêtres empilables, 83 × 640 × 436 cm.
Au premier plan, Eyeliner, série « Sept pièces faciles », 2007. Caoutchouc et peinture blanche, dimensions variables. Au fond, La Tristesse des clous, 2002. Bois teinté, châssis de fenêtres empilables, 83 × 640 × 436 cm.
Jean-Christophe Norman
Production MAC VAL – Musée d’art contemporain du Val-de-Marne.
Terre à terre 2017. Encre sur mural
Pour son exposition au MAC VAL, Juliana Góngora utilise le sel et la terre comme matériaux principaux. Le sel, ressource associée à des rituels de purification en Colombie est surtout ici employé comme une substance qui « conserve » et par extension « prend soin de ».
Des mouchoirs en tissu remplis de sel et d’eau, noués et suspendus au plafond, laissent s’échapper des stalactites, des larmes qui coulent sur un sol de terre. Elle transforme également le lit pliant de son père, qui devient un filtre pour le sel et l’eau qu’elle y dépose. Les œuvres de Juliana Góngora résonnent ainsi avec son histoire familiale. Elle s’intéresse à l’action des matériaux : par expansion, le sel agit sur les tissus, cristallise et rigidifie les matières. Avec cette installation, Juliana Gongora construit une métaphore du cycle de la vie.
Des mouchoirs en tissu remplis de sel et d’eau, noués et suspendus au plafond, laissent s’échapper des stalactites, des larmes qui coulent sur un sol de terre. Elle transforme également le lit pliant de son père, qui devient un filtre pour le sel et l’eau qu’elle y dépose. Les œuvres de Juliana Góngora résonnent ainsi avec son histoire familiale. Elle s’intéresse à l’action des matériaux : par expansion, le sel agit sur les tissus, cristallise et rigidifie les matières. Avec cette installation, Juliana Gongora construit une métaphore du cycle de la vie.
Agence Jacques Ripault Architecture
Les Grands Fumeurs 2007 aluminium peint, mécanismes, machine à fumée socle : 150 x 150 cm hauteur : 380 cm. Commandée par le MAC/VAL, l'œuvre se situe dans le jardin Michel-Germa du musée.
Christian Boltanski / Mauricio Pezo / Sofia Von Ellrichshausen, Panorama, Bell Pavlilion, Animitas